Considéré comme l’une des tâches les plus importantes pour la gestion de son entreprise, le recrutement nécessite la mise en place d’une démarche efficace et élaborée. Le processus de recrutement vise à engager du personnel qualifié capable d’apporter de la valeur ajoutée à la société afin d’améliorer sa réputation. De ce fait, un certain nombre d’outils technologiques sont très souvent mis en place dans les sociétés pour faciliter sa réalisation. Ces évolutions apportent toutefois leurs lots de bouleversements dans le système entrepreneurial.
Dans cette optique, les responsables d’entreprises qui n’ont pas de RH au sein de leur structure, ont tout intérêt à recourir à un expert notamment un Directeur de système d’information de transition. Découvrez à travers ce guide tout ce qu’il faut savoir sur les pratiques et tendances de recrutement en entreprise.
DSI de transition : quelles sont ses missions en management ?
Cliquez ici pour en savoir plus
Le DSI de transition est généralement missionné par un cabinet de conseil pour une période bien déterminée. Il est en mesure d’assurer des missions variées incluant le déploiement des progiciels d’entreprises (ERP). Dans ce cadre, ces responsabilités se définissent comme suit :
- Assurer la mise en œuvre du projet ;
- Contacter les prestataires ;
- Surveiller les coûts ;
- Établir un planning de production.
En dehors de cet aspect, le manager de transition assure la modification du parc informatique. Autrement dit, il garantit l’intégration de tout nouvel outil en assurant la formation des salariés. Les DSI proposent également un accompagnement personnalisé sur mise en œuvre d’un projet en entreprise. Que ce soit en amont ou bien lorsque le projet est déjà en cours, ils ont la possibilité d’intervenir afin de lui donner une nouvelle impulsion.
Les Directeurs de système d’information de transition sont en mesure de réviser les process et gain de productivité au service des autres directions. D’un autre côté, en cas de fusion ou de rachat, les managers de transition assurent la refonte du système SI. En clair, en vous dotant d’un manager de transition expérimenté, vous assurez le renforcement et le renouvellement de votre système d’information ou encore le développement efficace de votre service informatique.
Le futur du travail : quelles perspectives ?
Le futur du travail désigne l’ensemble des prédictions sur les pratiques et les habitudes de travail qui pourraient se développer dans les années à venir. À cet effet, il faut noter que deux grandes forces caractérisent le travail de demain : l’adoption de l’intelligence artificielle et le travail à distance.
L’adoption de l’intelligence artificielle
Depuis quelques années, le futur du travail tend à évoluer vers la liberté, le bien-être, la souplesse au travail et la transparence. Ainsi, toutes les entreprises devront faire face à la fin de l’artisanat. L’adoption de l’intelligence artificielle tend à faire disparaître les savoir-faire dans le secteur de la communication digitale et du marketing. En conséquence, de nombreux métiers touchant à la transformation numérique seront remplacés par l’IA. Il en est de même pour la robotique qui peuple déjà les usines automobiles et aéronautiques. Ces machines accomplissent les tâches complexes et répétitives.
Le travail à distance
La seconde tendance qui se profile à l’horizon est le travail à distance. Pour rappel, avec l’impact de la COVID-19, cette forme de travail s’est déjà généralisée dans une grande partie des emplois du secteur tertiaire. Le freelancing permet de consolider liberté, flexibilité au travail et efficacité maximale. Autrement dit, c’est un atout majeur pour les travailleurs qui souhaitent consolider vie de famille et vie professionnelle.
Le télétravail aboutira en outre à l’apparition de nouveaux métiers dans le secteur du management. À cela s’ajoute l’apparition de nouveaux moyens de communication plus collaboratifs et participatifs. Dans ce même contexte, le coworking est apparu avec des espaces spécialement aménagés pour les employés.
Améliorer l’expérience client : 2 conseils
1 – Bien concevoir les bases de sa stratégie d’expérience client
L’expérience client doit être unique et refléter les valeurs que l’entreprise souhaite transmettre. Il convient alors d’adopter un positionnement affirmé et réfléchi. En pratique, voici quelques questions susceptibles de vous guider dans votre démarche d’optimisation de l’expérience client.
- Quels sont les objectifs à atteindre ?
- Comment atteindre ces objectifs ?
- Sur quelles valeurs souhaite-t-on fonder la stratégie d’amélioration de l’expérience client ?
- Quels sont les points de contact entre les clients et votre marque ?
Par ailleurs, améliorer l’expérience client, c’est aussi mettre en place des conditions d’une expérience sans couture entre les différents canaux. En d’autres termes, le client doit pouvoir passer d’un canal à un autre de façon le plus fluide possible.
2 – Créer du lien émotionnel avec les clients
En règle générale, l’acquisition d’un nouveau client coûte en moyenne 7 fois plus cher que la fidélisation d’un client déjà existant. Cependant, pour fidéliser un client, il est important de générer de l’attachement à la marque. L’émotion (ressentis de vos clients en voyant et en utilisant vos produits ou services) permet donc de connecter vos clients à votre marque. Au-delà de vos produits, le client achète surtout ce que vous êtes. Ainsi, vos produits doivent être non seulement de meilleure qualité, mais ils doivent aussi susciter de l’émotion auprès des clients.
Manager et leader : Différences et points communs
Dans le langage courant, on confond le plus souvent manager et leader. Cependant il s’agit de deux rôles différents.
Les différences entre manager et leader
De prime abord, il faut notifier que les managers ont des objectifs contrairement aux leaders qui ont une vision. Le manager se concentre donc sur la mise en œuvre, la mesure et l’atteinte de ses objectifs. En équipe, il contrôle l’activité de ses collaborateurs afin d’atteindre ou de surpasser les objectifs préalablement fixés. En revanche, le leader conduit par sa vision, inspire son équipe à faire de cette vision une réalité. Il mobilise et motive ses collaborateurs à faire partie de quelque chose d’important.
En dehors de cet aspect, il faut retenir que les leaders prennent des risques alors que les managers contrôlent les risques. Les leaders tentent en effet de nouvelles approches, sans la crainte de l’échec. Les managers par contre cherchent toujours à minimiser les risques. Ils essayent de contrôler les problèmes plutôt que d’y être confrontés.
Les points communs
L’un des points communs entre manager et leader, c’est qu’ils se chargent de motiver leur équipe afin d’atteindre les objectifs ou la vision préalablement définis. Les deux encouragent activement le feedback et l’utilisent comme un outil au profit du développement. Outre cela, que ce soit le manager ou le leader, les deux sont capables de former et de développer une grande équipe qui partage la même vision ou le même objectif. Enfin, il faut noter que les deux rôles sont étroitement liés en ce sens qu’ils représentent des personnes d’action.
Zoom sur le télétravail en entreprise
Les employeurs peuvent donc décider de mettre en place le télétravail exclusivement pour une catégorie de personnels bien déterminée. Même si l’employeur a le droit de refuser le télétravail à un employé, il est cependant dans l’obligation de motiver sa réponse. À l’inverse, selon les normes en vigueur en matière de télétravail, le refus d’un poste de télétravailleur ne constitue pas un motif de rupture de contrat de travail.
Pour mettre en place le télétravail, trois possibilités se présentent. Premièrement, il faut un simple accord entre le salarié et l’employeur. Cet accord peut se faire à travers différents canaux notamment oral, courriel ou encore courrier. La seconde possibilité nécessite un accord collectif et la dernière implique une charte élaborée par l’employeur, après avis du comité économique et social.
Comment mettre en place une entreprise durable ?
Mettre en place une démarche durable constitue une action favorable pour le développement de toute société. Dans cette optique, il est important pour les entreprises d’établir un certain nombre de stratégies déterminantes. D’abord, il faut mettre les travailleurs au centre des actions de développement durable. Si vous ne disposez pas d’une politique en matière de développement durable en entreprise, vous pouvez soumettre quelques interrogations à vos employés pour recueillir leurs avis. Ainsi, ces derniers pourront apporter leur contribution dans la réalisation du projet.
En dehors de cette stratégie, il est important d’améliorer les pratiques de recyclages dans les locaux. Que ce soit sur le plan économique, social et environnemental, l’entreprise doit prendre des mesures adaptées. En pratique, si vous aspirez à un développement durable, vous pouvez entamer le processus par le recyclage des déchets. Pour cela, il faut penser à installer des bacs de recyclage près des poubelles suivies des indications claires.
D’un autre côté, vous pouvez interdire à vos collaborateurs l’utilisation dans les locaux, d’objets en plastique non réutilisables. Il est en outre conseillé de miser sur l’utilisation des produits d’entretien écoresponsable. L’autre stratégie très avantageuse, c’est de collaborer avec des fournisseurs durables.
Vous voilà au courant des dernières tendances en matière de ressources humaines et de recrutement. Les RH étant l’un des éléments les plus important pour la bonne santé d’une entreprise, il vous faudra recruter efficacement.